Les œuvres de 15 auteurs se retrouvent dans l’Embarcadère

3 octobre 2011
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La Société littéraire de Charlevoix a procédé au lancement de la 14e Revue L’Embarcadère dans les bibliothèques de La Malbaie et de Baie-Saint-Paul en marge des Journées de la culture. C’est grâce au concours littéraire que la solic a organisé qu’une quinzaine d’auteurs ont pu voir leurs œuvres publier dans ce numéro.

La revue L’Embarcadère contient sept textes provenant de quelques participants au concours et de la lauréate Isabelle-Anne Messier. Les lecteurs pourront aussi constater le talent d’Hélène Bard, Louis Bergeon, Lucie Bérubé, Serge Bouchard, Geneviève Brassard, Claude Frappier, Claudette Frenette, Roger Giasson, André Jacob, Bernard Langevin, Louise Lebel et Florilène Loupret. La page couverture est l’œuvre de l’artiste Denis Reid.

Le président de l’organisation, Bernard Langevin a rappelé que «depuis la fondation de la Solic en 1999 et la publication de son premier numéro en 1999 près de 150 auteurs charlevoisiens ont pu voir leur œuvre publié dans l’Embarcadère. Aussi 22 artistes d’ici ont illustré la revue en solo ou en collectif. C’est donc dire que la société littéraire est une voie active de la scène culturelle charlevoisienne.»

«Malheureusement, elle en est aussi le parent pauvre et sa mission a toujours été portée à bout de bras par une poignée d’irréductibles qui se sont succédé depuis les débuts au conseil d’administration. C’est difficile parce que le travail est à recommencer à chaque numéro. Nous devons amasser 3 000 $ auprès des commanditaires pour un tirage de 300 exemplaires. »

La ville de Baie-Saint-Paul fait partie des partenaires depuis les débuts de la Solic. «C’est grâce à des gens comme vous que la culture dans Charlevoix et particulièrement à Baie-Saint-Paul est si vivante, a souligné le maire Jean Fortin. Au nom des représentants des citoyens, je salue leur travail et leurs efforts. La vitalité culturelle dans une région c’est essentiel et elle fait partie de notre qualité de vie. Je salue le travail des auteurs puisque c’est tout un effort d’écrire.»

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