Pauline Marois supporte le projet de Campus Charlevoix

24 mars 2014
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Sur le thème de l’éducation, la députée sortante et candidate pour le Parti québécois (PQ), Pauline Marois, affirme qu’elle « continuera à soutenir le projet de campus du Centre d’études collégiales en Charlevoix (CÉCC) »

« D’ailleurs », ajoute Mme Marois, « ce projet s’inscrit dans notre volonté d’élaborer une politique d’éducation des adultes et de formation continue, dont l’un des piliers sera l’alphabétisation ».

Rappelons que le projet de Campus Charlevoix vise à agrandir et doter le CÉCC de Pointe-au-Pic de meilleures infrastructures. Le projet, toujours en mode financement, notamment par le biais d’une campagne populaire, est estimé à plus de neuf millions $.

La clé du développement

En fait, la candidate Pauline Marois croit que « l’éducation est la clé du développement culturel, économique et social de notre circonscription ». Du coup, le Parti québécois entend également « agir » pour le maintient « des petites écoles primaires et secondaires de notre région, parce que l’école est un milieu de vie essentiel à nos communautés ».

« Afin d’offrir un meilleur avenir aux jeunes de notre région, nous devons nous engager dans la lutte contre le décrochage scolaire. C’est pourquoi le gouvernement du Parti Québécois a lancé les travaux de la première politique nationale en cette matière. Aussi, j’invite tous les acteurs de l’éducation à se mobiliser pour cette initiative », invite Mme Marois.

En quête d’un quatrième mandat dans Charlevoix-Côte-de-Beaupré ainsi que d’un second à la tête de la province pour le Parti québécois, Pauline Marois souhaite déjouer le décrochage scolaire, notamment en valorisant et en aidant les enseignants qui sont en « première ligne » dans cette lutte. Des ressources supplémentaires devraient pour les élèves en difficultés et plus de diversité dans les programmes de sports-études et dans les activités sportives au niveau secondaire sont également priorisés pour le PQ.

« La valorisation de la formation professionnelle et la diversité des programmes d’enseignement offerts permettront à nos jeunes de choisir des emplois qui sont en demande dans notre région », estime également Mme Marois. « Plus précisément, des besoins se manifestent dans le secteur touristique et dans celui de la transformation (silice, chantier naval, industries agrotouristique, éolienne et forestière). Il est essentiel d’agir afin que nos jeunes aient la chance d’obtenir un emploi gratifiant et qui leur permette de s’épanouir. »

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