Le Cœur sur le monde: au-delà des espérances

Par Gilles Fiset 2 septembre 2013
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Le samedi 31 août, l’événement le Cœur sur le monde se déroulait de 13 h à 20 h sur le stationnement du Maxi à Baie-Saint-Paul.  Une journée durant laquelle la santé… et le plaisir étaient au menu.

« Je suis très satisfait de la réponse du public. Malheureusement, il y a des billets qui ont été achetés, mais les personnes ne se sont pas présentées. Les résultats de la soirée sont quand même au-delà de nos espérances », c’est ainsi que commentait Luc Goudreau, président d’honneur de l’événement le Cœur sur le monde. Ce dernier était organisé par le Club Bon Cœur des Cardiaques de Charlevoix.

Étienne Morin, kinésiologue du club, est aussi très satisfait des résultats de l’événement. « On a vendu 160 billets pour la soirée mexicaine et plus d’une centaine de personnes se sont présentées », racontait M. Morin.

De plus, entre 200 et 250 intéressés sont venus durant l’après-midi pour bénéficier des services ou des renseignements que les responsables des six stands dédiés à la santé distribuaient aux gens présents. L’organisatrice principale de l’événement, Jessica Estrada Chablé a pu compter, en plus du personnel du club, sur une dizaine de bénévoles, dont Diane Amyot qui était responsable d’amuser les enfants sur le site.

Début de la campagne de financement

L’événement le Cœur sur le monde marquait la première journée de la campagne de financement du Club Bon Cœur des Cardiaques de Charlevoix. L’objectif à atteindre est de 25 000 $ à la fin décembre de cette année. L’argent recueilli servira à débuter la première phase de la mise en place d’un centre d’interprétation de la santé en achetant les équipements nécessaires.

Grâce, entre autres, aux efforts de M. Goudreau, la campagne démarre sur les chapeaux de roue avec 6 000 $ déjà d’amassés. Le Club se fie d’ailleurs sur celui qui était président d’honneur de l’événement le Cœur sur le monde pour mousser la campagne. « Pour atteindre notre objectif, on compte entre autre sur M. Goudreau qui a beaucoup de contacts. En plus, bien sûr, des entreprises locales intéressées par le projet », commentait M. Morin.

 

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