Des maisons qui s’harmonisent avec le paysage

15 novembre 2011
Temps de lecture :

Un nouveau projet résidentiel a vu le jour en 2009, rendant disponible 100 terrains avec une vue imprenable sur le fleuve. Les deux entrepreneurs Florent Moser et Alain Rajotte, qui adorent la région, ont conçu Les Terrasses Cap-à-L’Aigle. Pour eux, il était primordial que l’architecture des maisons s’harmonise avec la nature.

Le projet totalise deux phases de 60 et 40 terrains et sont accessibles par la rue Fleurie. Près de la moitié des terrains ont déjà trouvé preneurs. Les constructions des maisons débuteront au printemps. Les promoteurs ont conçu des maisons modèles contemporaines haut de gamme qui s’intègrent parfaitement dans le paysage.

Les gens intéressés peuvent visiter la maison modèle Le Phare. «Nous avons élaboré un concept qui correspond à notre vision de la maison d’aujourd’hui, souligne M. Moser, qui est le promoteur du projet. Selon nous, chaque maison doit être conçue sur mesure de manière à répondre aux besoins des clients tout en s’intégrant à son environnement. Nous souhaitons créer un havre de paix et mettre la nature en scène, en jouant sur ses attraits, comme le dénivelé, l’ensoleillement et la vue panoramique.»

La valeur moyenne des terrains incluant les taxes est d’environ 79 000 $. Les prix se situent entre 69 000 et 139 000 $, taxes incluses. Les tuyaux pour l’aqueduc sont déjà installés, ce qui évite aux acheteurs d’installer un puits artésien. «Nous avons deux postes de pompage, précise M. Rajotte. C’est avantageux pour les gens puisqu’ils n’auront pas de problème d’eau. La qualité des terrains est là. En plus, ils sont situés à 15 kilomètres du Mont Grand-Fonds.»

Les promoteurs offrent aussi aux gens de leur construire leur maison de rêve, mais c’est le cabinet d’architectes MU architecture de Montréal, qui conçoit les plans. Pour le reste des travaux, les entrepreneurs ont fait affaire avec la main d’œuvre locale. Par exemple, la route d’accès aux terrains a été réalisée par Simon Thivierge & Fils. «C’était important pour nous d’engager de la main-d’œuvre locale. Au début, c’était difficile puisque les travailleurs étaient déjà occupés ailleurs. Maintenant, nous les engageons à l’avance. Nos matériaux proviennent en majorité du Québec et nous avons aussi travaillé avec BMR Henri Jean & Fils et d’autres entreprises de Charlevoix.» 

Partager cet article