Saveurs Charlevoix à la recherche d’un nouveau directeur général

1 septembre 2011
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Six mois après sa création, Saveurs Charlevoix doit dénicher un nouveau directeur général alors que survient une saison de pointe dans la distribution des produits régionaux et qu’ouvrira prochainement la première boutique Saveurs Charlevoix.

En poste depuis juin, le directeur général Jonathan Portelance a quitté le 16 août dernier pour des raisons personnelles. « Ce n’est pas un départ que nous souhaitions, mais ça permettra au nouveau conseil d’administration de s’approprier la décision de l’embauche d’un nouveau directeur général », précise Michel Côté, président du conseil d’administration.

Le départ du dg survient alors que la saison la plus importante de l’année s’amorce. Le 12 septembre prochain, Saveurs Charlevoix inaugurera d’ailleurs sa première boutique au Métro Marquis à Repentigny. Pour le moment, M. Côté et les autres membres du CA ainsi que l’adjointe administrative Chantale Desgagnés tiennent le fort afin d’assurer la distribution des produits régionaux et l’approvisionnement des points de vente. Les producteurs qui désirent participer à l’offensive automnale peuvent d’ailleurs communiquer avec Mme Desgagnés au 489-2986 (cdesgagnes@saveurscharlevoix.com).

CA renouvelé

C’est au conseil d’administration renouvelé qu’incombera la tâche d’embaucher un nouveau directeur général, la première embauche ayant été menée par le CLD de la MRC de Charlevoix-Est. Tel que convenu lors de la création de Saveurs Charlevoix, les premiers membres du conseil d’administration issus du secteur public laissent graduellement la place à des membres issus de l’industrie agroalimentaire. Dès la fin de cette semaine, le conseil exécutif se penchera sur le processus d’embauche d’un nouveau dg et pourra notamment piger s’il le désire parmi la trentaine de curriculum vitae reçus lors de l’ouverture du poste le printemps dernier. « Le nouveau dg aura notamment à finaliser le plan d’affaires et coordonner le plan de contingence », précise M. Côté qui entend lui aussi le temps venu laisser sa place à un administrateur issu de l’industrie.

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