Saint-Aimé-des-Lacs, La Malbaie, Saint-Urbain et Baie-Saint-Paul sont parmi les 50 finalistes du concours Internet « La municipalité la plus plein air du Québec ».
Mis en ligne par le magazine Géo plein air, le concours appel la population aux urnes depuis le 7 janvier et ce, jusqu’au 28 février. Comme point de départ, le magazine a sélectionné cinquante municipalités où se trouvent plusieurs infrastructures de plein air de qualité. C’est ainsi que des villes tels que les Iles-de-la-Madeleine, Percé, Magog-Orford, Rimouski, Sept-Îles, Tremblant, La Tuque, Tadoussac et Saguenay ont également été sélectionnées.
C’est en mai prochain que sera dévoilée la municipalité gagnante et le palmarès des 10 villes les plus plein air du Québec. À l’aube de la saison touristique estivale, ces municipalités feront l’objet d’une visibilité dans l’édition de juin du magazine Géo plein air.
Appel au vote
Invitant « la population à voter en très grand nombre », Tourisme Charlevoix profite également du concours pour promouvoir la région et son offre de plein air. Des publicités Internet ont été prévues tout comme un hyperlien vers le formulaire du concours à partir des pages Facebook et Twitter de l’organisme. « La diversité de l’offre d’attraits et activités de plein de Saint-Aimé-des-Lacs, La Malbaie, Baie-Saint-Paul et Saint-Urbain fait de notre région une concurrente de taille face à bien d’autres au Québec », croit Marie-Ève Simard, chargée de projet marketing à Tourisme Charlevoix.
Un concours qui n’est pas sans rappeler celui du Moulin Bouchard où tout Charlevoix était invité à voter via Internet afin de sauver le bâtiment patrimonial. Dans ce cas-ci, un seul vote par participant est permis. La population peut voter pour la municipalité de son choix en visitant le www.geopleinair.com/top10-villes-pleinair/ ou en remplissant un des formulaires de votation disponibles dans certains hebdos ainsi que les magazines Science et Géo plein air. Rappelons que le vote prend fin le 28 février prochain.
Après une semaine, plus de 15 000 votes ont été enregistrés. Considérant déjà le concours comme un « succès », la rédactrice en chef de Géo plein air Nathalie Schneider précise cependant que la progression des résultats ne sera pas rendue public afin d’éviter « d’influencer le vote » et d’alimenter la rivalité.
