Quand Riopelle propulse le Musée de Charlevoix

Par Le Charlevoisien 2:02 PM - 24 septembre 2023
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Le directeur du Musée de Charlevoix Sylvain Gendreau nous présente le président d’honneur, Me Francis Fortin, et la présidente du CA, Marie-Christine Dufour, avec en arrière-plan la magnifique exposition sur Riopelle.

L’été 2022 avait été bon pour le Musée de Charlevoix. 2023 encore mieux, avec plus de 10 000 visiteurs pour apprécier l’exposition sur Riopelle et l’art populaire, soit 30 % d’augmentation.

Ces chiffres ont été révélés par le directeur général Sylvain Gendreau, en marge de l’activité de financement tenue dimanche.

« C’est une belle locomotive pour nous. Nous avons su faire ressortir la façon de travailler de l’artiste proche de l’art populaire, qui est le propre de la mission du Musée », expliquait M. Gendreau.

N’ayez craintes, vous avez jusqu’en mars 2024 pour apprécier son contenu franchement intéressant. Plus encore, le partenariat avec le Musée d’art contemporain de Baie-Saint-Paul donne une double raison de célébrer le centenaire de l’artiste. Sans oublier « une série d’activités de médiation culturelle qui parlera de Riopelle », d’ajouter le sympatique dirigeant.

L’activité de financement, Riopelle symphonie d’automne, placée sous la présidence d’honneur de Me Francis Fortin, rapporte autour de 12 000 $ au Musée. Une partie des gains sera versée à la Fondation québécoise du cancer du sein.

Me Fortin a rappelé « l’importance du musée comme acteur économique » tandis que la présidente du conseil d’administration, Marie-Christine Dufour, n’a pas manqué de souligner que pour, Charlevoix, c’est la beauté, la nature, mais aussi son contenu culturel ».

Près de 80 personnes étaient présentes à Riopelle Symphonie d’automne.

Été 2024

Le Musée de Charlevoix est à mettre la touche finale pour son offre estivale qui sera internationale. L’art populaire haïtien, un autre volet réservé au Mexique et l’Amérique du Sud, enfin une incursion dans l’univers du photographe allemand Sanders, célèbre pour avoir dépeint la Sardaigne dans les année 20.

Et foi de Sylvain Gendreau, la clef du succès passera par le maillage avec d’autres institutions muséales, comme celui avec le Musée d’art contemporain.

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