Tourisme Charlevoix conclut une étape importante de son plan de relance de Charlevoix comme destination touristique post-COVID. Au terme de la première phase, ce sont près de 150 répondants qui ont participé au sondage et 110 intervenants qui ont pris part aux différents groupes de discussion qui se sont déroulés tout au long de la première semaine de mai.
Mitchell Dion, directeur général de l’association touristique qui regroupe près de 450 membres s’est dit très satisfait de cette première piste d’avenir pour l’industrie. « Les membres sont contents que l’on se parle et qu’on élabore collectivement un plan. Ils ne se sentent pas seuls et bien accompagnés, pris en compte. Les gens aimaient ça se retrouver en secteur. Ils se sont rendu compte qu’ils n’étaient à vivre certaines situations. Ça a été une belle semaine et ça met la table pour la suite », commente le dg.
La démarche s’est faite en collaboration avec les MRC de Charlevoix et Charlevoix-Est ainsi que la Chambre de commerce de Charlevoix. Tous se disent heureux de l’avancement des travaux entourant l’élaboration d’un plan de relance de l’industrie touristique régionale. Maintenant, les représentations politiques prendront place afin de bonifier les idées des membres de l’association.
Plusieurs ont demandé d’ailleurs la mise en place d’un fonds spécial et sont impatients de voir les prochaines annonces des intervenants fédéraux et provinciaux en tourisme. « Nous allons présenter nos recommandations aux différents paliers de gouvernement prochainement. Dès le jeudi 14 mai, une rencontre d’information aura lieu. Elle visera à présenter les constats de la démarche aux intervenants politiques de la région ainsi qu’à différents partenaires de Tourisme Charlevoix. Dès la fin mai, l’ensemble des intervenants du milieu touristique seront convoqués à nouveau afin de prendre part à une rencontre visant à présenter le plan détaillé. Ainsi, nous serons prêts à rebondir rapidement lorsque le gouvernement annoncera une réouverture progressive de l’industrie touristique », complète M. Dion.
