Deux Rafales aux Jeux du Québec

Par Eric Maltais 7 juillet 2016
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Myriam Bergeron et Marie-Noël Tremblay vivront l’aventure des Jeux du Québec

Eric Maltais

Myriam Bergeron, 15 ans, de La Malbaie, et Marie-Noël Tremblay, 16 ans, de Saint-Siméon, vivront l’aventure des Jeux du Québec à Montréal à compter du 17 juillet prochain dans la discipline du volleyball.
 

Rencontrées avant leur départ vers Québec où elles mettent ces jours-ci la touche finale à leur préparation, les deux athlètes de 4e et 5e secondaires de l’école secondaire du Plateau de La Malbaie ont avoué viser rien de moins qu’une médaille à ce prestigieux événement. Elles assisteront à l’ouverture officielle des Jeux dans le Stade olympique de Montréal, 40 ans après les Jeux olympiques qui avaient fait de la gymnaste Nadia Comaneci la reine des Jeux.

Myriam, une joueuse centre de 15 ans mesurant près de 6 pieds, et Marie-Noël, une attaquante de 5 peids 7 pouces, s’entraînent à raison de trois heures par jour, six jours par semaine à Québec afin d’être d’attaque lorsque sera entendu le premier coup de sifflet, le 18 juillet au matin. Le samedi, leur période d’entrainement s’échelonne sur six heures, ce qui constitue un horaire passablement exigeant.

Leur sélection traduit l’excellence de l’enseignement du volleyball à l’école secondaire du Plateau de La Malbaie. Les deux joueuses font partie des Rafales cadettes. Au civil, Myriam évolue avec les Impulsives de La Malbaie alors que Marie-Noël joue pour les Élans de Garneau, à Québec. Cette dernière vivra sa deuxième expérience des Jeux du Québec, sachant très bien ce que l’aventure lui réserve.

Ces talentueuses volleyeuses ont mérité leur place avec les 12 joueuses faisant partie de l’équipe de la région de la Capitale-Nationale, parmi plus de 100 aspirantes, lors du camp de sélection tenu en février dernier.

Chez les garçons, la sélection n’a pas encore été officialisée. Le Charlevoisien a appris que cinq volleyeurs figuraient toujours parmi les aspirants, le tout devant se finaliser au cours des prochaines heures.

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