La nouvelle directrice générale de Réseau Charlevoix procède actuellement à une restructuration majeure. Trois postes ont été abolis dans cette opération de « repositionnement » de l’organisation qui gère des équipements d’une valeur de plus de 25 M$.
Nancy Belley confirme que deux postes de techniciens (un à temps partiel) affectés à la salle Multi et celui d’adjointe à la direction ont été coupés. « D’autres mouvements vont suivre. Nous planifions selon nos besoins et en fonction du retour du Train léger ce printemps », dit-elle.
Réseau Charlevoix emploie une soixantaine de travailleurs en haute saison. La plupart sont affectés aux opérations. Le Train léger ne roulant pas cet hiver, il n’y a que quatre noms sur la liste de paie en date d’aujourd’hui.
Ouverture sur le milieu
Nancy Belley mise sur la collaboration avec le plus grand nombre de partenaires du milieu « pour maximiser les investissements de chacun pour développer l’offre touristique ». Elle rappelle que le Train léger « est une force pour la région ».
Réseau Charlevoix a aussi l’intention d’aller un peu plus loin dans ses partenariats avec Groupe Germain « pour qu’ils soient encore plus efficients et rentables pour les deux », affirme Nancy Belley.
Rappelons que Réseau Charlevoix a été fondé dans le cadre du projet récréotouristique de Groupe Le Massif. C’est un organisme à but non lucratif qui gère des équipements publics qui sont le Train léger, la salle Multi et son service de réservation, les gares et les marchés publics.
Une partie de ses revenus proviennent d’ententes intervenues avec Baie-Saint-Paul et Petite-Rivière-Saint-François. Cet argent provient des taxes foncières payées par les propriétés de Groupe le Massif.
