Jacques Tremblay a reçu une distinction hautement méritée au sein du club Lions de Clermont/La Malbaie. Il a été désigné Lion de l’année à l’issue du souper annuel de la passation des pouvoirs, dimanche dernier, au Petit Manoir du casino.
Le dévouement et l’implication de M. Tremblay ont été reconnus, lui qui œuvre souvent dans l’ombre au sein de l’organisme, pour le mieux-être de sa communauté : «Je suis membre Lion depuis 42 ans et je vais mourir Lion», a-t-il laissé échappé tout de go.
Rachelle Néron, fondatrice de la chorale de Saint-Agnès en compagnie de sa consoeur Francine Tremblay, a été nommée membre d’honneur pour l’année 2010-2011 ainsi que Louise Harvey qui agira comme membre honoraire.
La président Charlotte Bergeron a remis le flambeau à Yvon Fortin qui assumera la fonction de président pour la prochaine année : «Être présidente a été pour moi une source de défi et de motivation personnelle au sein d’un club aussi prestigieux. L’année 2009-2010 fut une grande réussite et nous avons pratiquement atteint tous nos objectifs», a-t-elle laissé entendre, sous une salve d’applaudissements.
Le comité des œuvres du club Lions dévoilera à la fin du mois de juin le nom des organismes qui se sont vus remettre des dons substantiels, grâce à la générosité de la population en général qui s’est portée acquéreur des 1000 billets de la Loto-Lions et lors de la souscription de la canne blanche :
«Une bonne partie des argents amassés est redistribuée dans le milieu pour venir en aide aux gens les moins fortunés», assure Claude Sirois, qui agira l’an prochain en qualité de 1er vice-président et secrétaire du district U-2.
Plusieurs membres du club ont été récompensés lors de repas de clôture pour leur implication, leur assiduité et leur travail au sein des divers comités.
On a également souligné les 20 ans de loyaux services de Bernard Dufour et Julie Desmeules, les 15 ans de lionisme d’Yvon Fortin qui assumera la fonction de président pour une troisième reprise, les 10 ans de services d’Hélène Gaudreault et de Nicole Côté et les 5 ans d’intense implication de Claude Sirois.
