Le Répit garderie sera prolongé
Les familles de Charlevoix Est se réjouiront sans soute d’apprendre que le service de Répit garderie sera prolongé durant cinq semaines, soit jusqu’au 25 juin. L’organisme communautaire peut ainsi accommoder les parents grâce à un don de 3 500 $ du club Lions de Clermont/La Malbaie.
La directrice de la Maison de la famille, Diane Martel est très heureuse de répondre à un besoin des parents. «Ce prolongement fera une grosse différence pour les familles. Il y avait un trou de service puisque normalement nous finissions le 21 mai et plusieurs enfants débutaient le terrain de jeu à la fin de l’année scolaire. Nous avons saisi cette opportunité avec une grande joie.»
La présidente du club Lions Clermont/La Malbaie, Charlotte Bergeron, a choisit d’aider l’organisme puisqu’elle souhaitait aider les enfants et leurs parents. «Les enfants sont notre richesse dans la communauté. C’est important d’aider les jeunes familles. Nous avons reçu plusieurs demandes, mais nous avons considéré que la Maison de la famille avait besoin de cet aide.»
Les services offerts par l’organisme sont importants pour les parents surtout dans un contexte où le réseau social est moins grand. «Les familles sont moins grandes aujourd’hui et les parents ont souvent besoin d’aller chercher ailleurs que dans leur réseau social, a ajouté la directrice de la Maison de la famille».
«Nous avons aussi des demandes pour des besoins atypiques, par exemple à 7h30, mais pour le moment nous ne sommes pas en mesure d’offrir le service avant 8h45, a-t-elle continué. Nous siégeons sur le laboratoire rural pour voir les petits pas que nous pourrions faire pour favoriser la conciliation travail/famille.»
La Maison de la famille est consciente que les parents ne sont pas en mesure de tout prévoir. «Nous leur offrons des demi-journées seulement s’ils le désirent, ce qui est très populaire, a noté Mme Martel. Les gens peuvent aussi nous appeler à la dernière minute lorsqu’ils ont besoin. Nous travaillons pour aider les parents. Ils apprennent à nous connaître.»
