Renouveau au Camp Le Manoir: des séjours thématiques

Par Gilles Fiset 3:39 PM - 10 mars 2017
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Le Camp Le Manoir. Photo prise sur le site du Répertoire du patrimoine culturel du Québec.

Les responsables du Camp Le Manoir des Éboulements se préparent à annoncer leur nouvelle programmation estivale qui comprendra, en plus du traditionnel camp de jour, des séjours thématiques.
Par Gilles Fiset
« On a décidé d’offrir de nouveaux types de séjours avec des thèmes comme la danse ou les sciences par exemple pour raffiner davantage nos activités », révèle le directeur de l’établissement, Thomas Lepage-Gouin. « On pense que cela va relancer un peu l’intérêt des enfants et notamment des plus vieux à venir au camp », ajoute-t-il. M. Lepage-Gouin a été vague sur les thèmes qui seront proposés cet été tout en affirmant qu’il n’y aurait pas de séjour linguistique. « Pour ce qui est des langues, il n’y en aura pas cette année. Mais c’est un autre projet sur lequel on travaille pour le futur, entre autres au niveau de l’anglais, mais il n’est pas prêt à éclore encore », affirme le directeur du Camp.
Les séjours thématiques s’adresseront aux jeunes de 5 à 12 ans, mais dans un avenir rapproché, les responsables voudraient élargir l’offre aux plus vieux. Ces derniers pourront d’ailleurs s’inscrire à la formation pour devenir moniteur de camp de vacances qui avait été proposée l’été dernier et qui sera reconduite cette année. Le séjour s’adresse à des jeunes de 15 ou 16 ans et elle leur permettra d’acquérir deux certifications en animation qui pourront leur servir pour travailler au Camp Le Manoir ou ailleurs.
Des cuisines rénovées
Les cuisines de l’établissement seront réaménagées sous peu pour un montant oscillant entre 15 000 $ et 18 000 $ grâce à une subvention de 10 000 $ et un prêt de 5 000 $ de la part de la MRC de Charlevoix. « Depuis quelques années, on fait de plus en plus de repas autant l’été que le reste de l’année parce que l’on reçoit plus de groupes privés de toutes sortes ou de familles. Nos cuisines actuelles, sans être désuètes, avaient atteint leurs capacités maximales et il fallait les rendre plus efficientes », confie Thomas Lepage-Gouin.
 
 
 

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