L’ouverture du Symposium coïncide avec celle de l’exposition permanente sur l’histoire du Symposium, intitulée «Zone de libres échanges».
Elle relate trois décennies de création, la production de 550 œuvres, la présence de 400 artistes et l’accueil de 400 000 visiteurs. L’objectif est le même que le symposium : favoriser un rapport direct entre l’art et le public.
«L’exposition permanente est exceptionnelle. Ce sera une exposition multimédia qui présente les artistes, toute l’histoire du symposium. Les œuvres vont être présentées en rotation. Pour les visiteurs, ce sera une façon de se rappeler les souvenirs quand une œuvre a été créée devant eux. C’est aussi l’histoire de tous les artistes et on oublie que tous les continents ont été représentés au cours des ans», d’expliquer le directeur M. St-Gelais-Tremblay.
Les œuvres sont évidemment issues de la collection du Musée d’art contemporain, une sélection de quelque 150 œuvres tirées de l’imposant corpus de 400 projets artistiques propriété du Musée.
Projections grand format, entrevues vidéo, bornes de consultation et documents d’archives s’ajoutent aux œuvres. C’est donc un parcours à volets interactifs qu’on propose aux visiteurs. Notons enfin que «Zone de libres échanges» comporte aussi un hommage à Françoise Labbé, fondatrice du Symposium.
