Les quelque 120 travailleurs de l’usine de Clermont qui devait perdre leur emploi à la fin du mois d’octobre ont obtenu un sursis.
La fermeture de la machine numéro 4 est repoussée à la mi-janvier en raison de l’obtention d’un contrat, fait assez exceptionnel dans les circonstances. L’annonce a été faite aux employés cette semaine, en assemblée syndicale pour faire le point sur la situation.
Depuis, dirigeants syndicaux et leaders socio-économiques ont rencontré la haute direction d’Abitibi-Bowater qui a répété croire à la rentabilité de l’usine sans la machine numéro 4.
Pendant ce temps, les nouvelles étaient moins bonnes du côté de Saint-Hilarion où on a informé que la production cessait pour une période indéterminé. La multinationale cherche toujours à se départir de l’infrastructure, indiquant discuter avec un acheteur potentiel sans plus. Cette fermeture touche une soixantaine de travailleurs.
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