25 avril 2024
Les Viandes Bio de Charlevoix ont permis à leurs employés de savourer le succès de ce qu’ils produisent quotidiennement. Pizzéria No.900 est débarquée aux installations du transformateur pour un diner pizza durant lequel des primeurs ont été servies!
Les deux entreprises font des affaires ensemble depuis 15 ans. Damien Girard et le chef Mirko D’Agata ont élaboré un speck qui fera justement son entrée bientôt dans les pizzas des 28 succursales de Pizzéria No.900. Quatre sont installées dans la région de Québec
« La collaboration est excellente. Ce ne sont pas tous les producteurs qui acceptent, mais les Viandes Bio le font avec intérêt, rigueur et passion », soutient Gabrielle Hamelin (photo ci-haut) cheffe de marque pour Pizzéria no.900.
Le délicieux speck, parce que oui j’y ai gouté sur une pizza garnie de chanterelles (photo ci-haut), est une viande vieillie pendant 18 mois. La viande du producteur et les connaissances du chef ont créé un produit parfait dès le premier essai. «C’est la première version. Elle est parfaite. La recette vient du nord de l’Italie. Le gras des porcs des Viandes bio est particulier », commente le chef D’Agata pizzaiolo depuis 23 ans.
Les Viandes Bio de Charlevoix vendent de 12 000 à 15 000 kilos de charcuterie à Pizzéria No.900. « C’est notre plus gros client privé », confie Damien Girard. Les prosciutto, peppéroni, pancetta et chorizo produits au centre de transformation de Saint-Urbain garnissent les pizzas de la chaine. « Et ce sont nos meilleurs vendeurs », a renchéri le chef D’Agata.
Ce chef s’y connait. En 2019, à Naples, en Italie, il a remporté le Championnat mondial de pizzaioli dans la catégorie «pizza romaine».
Le cofondateur des Viandes Bio tenait à ce que ses employés s’imprègnent du succès de l’entreprise. « Ils travaillent fort, bien, et sont fiers. Aujourd’hui, ils ont été en mesure de mesurer ce succès et de goûter à ce qu’ils font. Ils sont importants pour moi », exprime Damien Girard.
Les Viandes bio de Charlevoix ont vu le jour il y a 20 ans. Son développement s’est accéléré dans les dernières années avec un investissement de 5 M$ pour se doter d’un centre de transformation à Saint-Urbain. « On a maintenant de l’espace suffisant pour la production. Nous sommes plus dans une phase d’optimisation », termine Damien Girard.
