24 avril 2024
Extra-terrestres, guerriers intergalactiques et autres princesses de l’espace ont séduit les quelque 320 personnes qui ont assisté à Galactika, premier spectacle de l’École de la Cité-Danse sise dans l’ancienne église de Cap-à-l’Aigle devenu centre de diffusion culturelle.
63 enfants et jeunes de 4 à 18 ans ont suivi l’un ou l’autre des cours de l’école, de l’éveil à la danse à la danse contemporaine, en passant par le funky-jazz, le ballet classique ou la danse créative.
Pour Alexandra Savard, professeure et directrice de l’école de danse, ce premier spectacle marque une étape importante dans l’évolution de la Cité d’Art. «Je suis satisfaite de ce que l’on a présenté, même si c’est une première année d’existence pour l’école et un premier spectacle de danse pour la plupart des jeunes», de commenter avec enthousiasme Mme Savard.
« Pour plusieurs d’entre eux, la nervosité était palpable à quelques minutes d’entrer sur scène, mais ils ont vécu ça comme une belle fébrilité et ont brillé pour leurs familles qui étaient là pour les encourager », de renchérir la professeure, visiblement très fière des performances des 61 filles et des deux garçons. Ces derniers ont d’ailleurs épaté la galerie avec une chorégraphie de combat sur le thème musical de la Guerre des étoiles. Des projections assurées par la jeune compagnie La machine à voyager ont donné du relief à la scène.
Secondée par la professeure Marie-Noëlle Jacob-Tardif, qui dispense les cours d’éveil à la danse et de ballet classique, Alexandra Savard offre les cours dans l’enceinte de l’église de Cap-à-l’Aigle. Les inscriptions pour la session d’automne auront lieu en août.
La danse contemporaine des 13-18 ans était très impressionnante et particulièrement bien rodée.
