Gabriel Hardy sent «le vent du changement »

Le candidat du Parti conservateur dans Montmorency-Charlevoix « sent un vent de changement souffler d’aussi loin que d’à partir de Baie-Sainte-Catherine».
Dans une entrevue bilan de campagne, Gabriel Hardy mentionne que les électeurs sont « souriants et accueillants » même s’ils ne votent pas tous conservateur. « Ça donne des discussions intéressantes et souvent ils découvrent une nouvelle perspective. On n’est pas un parti d’extrême droite, mais plus au centre », dit-il.
Le candidat conservateur mentionne qu’il rencontre « beaucoup d’indécis qui trouvent que les programmes libéral et conservateur disent la même chose. Je remets des pendules à l’heure en expliquant que le Bloc n’est pas la seule formation à défendre les intérêts du Québec. Notre parti est le seul à vouloir un Québec fort dans un Canada uni. Les libéraux veulent centraliser et dépenser. Pas nous. Et la défense du français pour nous c’est réel. Ce n’est pas un slogan », dit-il.
Gabriel Hardy voit une lutte à deux dans Montmorency-Charlevoix. Il a également rappelé que le Bloc québécois a fait un « mauvais pari en maintenant les libéraux au pouvoir ». Le candidat conservateur est d’avis que le Bloc a même aidé les « libéraux à revenir en force ».
D’ici le scrutin du 28, le conservateur poursuivra son porte-à-porte. « J’adore le contact avec les électeurs et j’aime répondre à leurs questions. Demain, je me rends à Baie-Sainte-Catherine pour rencontrer des électeurs qui ont voté pour le Bloc aux dernières élections et qui veulent me voir. Le vent du changement souffle sur la circonscription », laisse-t-il entendre.
Gabriel Hardy ne changerait rien à sa campagne s’il devait la recommencer. « J’ai mené une belle campagne. J’ai essayé de rejoindre le plus d’électeurs possible et ce n’est pas terminé », dit-il également.
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si lui n«««««,est pas à droite change de parti car celui à ta gauche et votre chef sont pas mal à droite et près des idées à Trump. C’est pas le support des pousseux de puck qui vont me faire voter pour lui. Jepense qu’il est naif ce monsieur.