Le député péquiste de Jean-Talon est pour le moins « surpris » que la Sépaq décide de poursuivre les activités sur le secteur Est du Mont Sainte-Anne avec Resort of the Canadian Rockies (RCR).
«Est-ce que c’est lié avec ce que le gouvernement a annoncé en décembre? Je demande de la transparence et je réitère ma demande de voir l’entente intervenue avec le gouvernement du Québec relié aux investissements », lance Pascal Paradis.
Il s’explique mal ce choix de poursuivre avec un « mauvais citoyen corporatif qui a négligé un joyau. Pourquoi on continue avec ? Tout le monde sait qu’il y a eu négligence », dit-il.
Le député aimerait avoir accès à toutes les ententes qui sont intervenues entre le gouvernement et RCR depuis la vente de la montagne dans le milieu des années 90.
« Les ententes sont-elles ficelées où sommes-nous simplement en présence de communication. Il faut voir ces ententes qui impliquent de l’argent public », répète le député.
Pascal Paradis n’en revient pas qu’après une bataille juridique avec RCR le gouvernement lui redonne les clés. « On reproduit les mêmes erreurs. A-t-on considéré des alternatives. Si oui, pourquoi les avoir écartées ? », demande-t-il.
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