La Chambre de commerce de Charlevoix déplore les pertes d’emplois et de retombées économiques avec la fin des activités du Train de Charlevoix.
La directrice générale Annie Simard « ne se réjouit pas de perdre 60 emplois et des millions en retombées ».
Elle demeure au-dessus de la mêlée et ne prend pas position en faveur de Réseau Charlevoix ou des élus. « Ceux qui gèrent des fonds publics ont des comptes à rendre et de l’autre côté Nancy Belley et son équipe ont tout fait pour tenter de trouver des solutions ».
Annie Simard ne se prononce pas sur une possible relance du Train de Charlevoix préférant laisser cette réflexion aux autorités de Réseau Charlevoix.
Québec demeure prudent
Sur le plan gouvernemental, le cabinet de la vice-première ministre et ministre des Transports du Québec, Geneviève Guilbault n’a pas encore répondu à notre demande.
Du côté de la ministre du Tourisme, Caroline Proulx, son attachée de presse mentionne « qu’il est trop tôt pour commenter la situation alors que ce sont d’autres ministères qui sont davantage impliqués ». Elle n’exclut pas que sa patronne se prononce éventuellement.
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Avec Investissement Québec entré à l’époque comme second actionnaire à Groupe le Massif et qui depuis y a développé un gros portefeuille à risque, ça doit cogiter fort en hauts lieux. Tant que Québec n’aura pas admis la faillite ça peu revenir avec…encore plus d’argent public. L’histoire nous dit que c’est tellement facile de dépenser l’argent des autres.
en se renvoie la balle de l’un à l’autre comme toujours.ben oui dépenser l’argent des autres,c’est très facile,c’est ce que Legult a toujours fait,s’il en manque il ne fait qu’augmenter les taxes et les impôts