60 ans à créer des souvenirs pour les jeunes au Camp Le Manoir

Les nombreux moniteurs qui ont travaillé durant une ou des saisons estivales au Camp Le Manoir étaient heureux de se retrouver pour célébrer les 60 ans de l’organisme. 175 personnes ont pris part au banquet hier soir.

« On est super contents. On a beaucoup d’anciens moniteurs et d’amis du camp, qui ont pu se revoir et fraterniser. C’est une belle ambiance. Certains souhaitaient revivre une journée au camp donc ils sont arrivés dès l’ouverture. Ils ont participé à plusieurs activités, dont l’escalade, de l’arbre en arbre, du tir à l’arc et à la carabine. C’est un peu la nostalgie des activités de camp sauf l’arbre en arbre qui est nouvelle. On a pu les vivre tout le monde ensemble », souligne le directeur général Thomas LePage-Gouin.

Les invités ont pu visiter les nouvelles installations du Camp Le Manoir, dont la modernisation du pavillon Jean-Paul Parent et le le parcours aérien.

« C’est une belle occasion de montrer nos ajouts aux anciens et à tout ceux qui ont été importants au fil des années. On vient de terminer un cycle avec ce projet. On va en relancer un autre un jour, mais on va commencer par opérer avec ce que nous avons. On s’assure que les choses fonctionnent bien », poursuit le DG.

Le président de l’organisme Pierre Tremblay a rappelé dans son discours que depuis maintenant 10 ans, le conseil d’administration poursuit l’œuvre et la vision des Frères du Sacré-coeur.

« Le conseil d’administration s’est donné comme mission de créer des expériences inoubliables dans un environnement exceptionnel. Le Camp le Manoir est bien plus qu’un camp d’été c’est une école de vie, un havre de paix et une communauté vivante de personnes qui partagent des valeurs de solidarité, de respect et d’amour du prochain », souligne M. Tremblay.

Un parcours aérien apprécié

Quant à l’intérêt des Charlevoisiens et des visiteurs pour le nouveau parcours aérien, il est bien présent. « L’engouement a commencé plus lentement durant l’été. On a eu une bonne réponse des semaines de la construction jusqu’à la rentrée scolaire. C’est l’an un, on a à se faire connaître et à créer l’habitude, mais ça se passe bien », termine M. LePage-Gouin.