Marc-André Jean frappe un grand coup pour le Club de golf Murray Bay

La Classique Auto Québec Charlevoix au profit du Club de golf Murray Bay a permis de récolter 62 555 $. Mission accomplie pour Marc-André Jean, directeur général de Clermont Dodge Chrysler qui ,au départ, voulait remettre 40 000$ dédiés à la future reconstruction du chalet.

Ceux qui connaissent Marc-André Jean savent qu’il ne fait rien à moitié. Sa toute première incursion dans le milieu du golf n’a pas fait exception à la règle. Il n’a rien négligé pour récolter cette somme et pour offrir au participant une journée parfaite, ce samedi 16 septembre, du début à la fin.

Il a reçu de nombreux témoignages d’appréciation qui, fait très rare, l’ont laissé sans mot. « Tu es généreux. Tu mets ton cœur dans tout ce que tu fais », lui témoignait un participant au terme de l’événement.

Environ 200 personnes ont foulé le parcours du club de golf qui célébrera ses 150 ans en 2026. Plusieurs autres se sont ajoutées pour le cocktail dinatoire qui suivait.

Les dirigeants du Club de golf Murray Bay étaient très heureux du succès financier et de participation de cette première édition du tournoi-bénéfice. « Une classique, c’est quelque chose qui se perpétue. Elle reviendra l’an prochain et les suivantes », a confié le président d’honneur et présentateur du tournoi.

Marc-André Jean voulait s’impliquer auprès du club de golf « qui permet à de nombreuses organisations d’amasser des fonds par l’entremise de tournois » et aussi pour soutenir une activité qui génère des retombées économiques importantes dans la région.

Le directeur général de Clermont Dodge Chrysler ne remportera probablement jamais le Charlevoix Open. Toutefois, personne ne pourra lui enlever son titre de premier homme d’affaires à s’être impliqué concrètement pour soutenir financièrement le club Murray Bay dans son projet de reconstruction du chalet.

Aux dernières nouvelles, un dossier doit être présenté au ministère de la Culture et des Communications du Québec en vue d’obtenir la permission de démolir l’actuel chalet. Il s’agit de la première étape du projet.