Six nouveaux terrains de villégiature offerts par l’État dans Charlevoix-Est

Par Jean-Baptiste Levêque 5:00 PM - 24 novembre 2022
Temps de lecture :

Un lac de la Zec Buteux-Bas-Saguenay. Photo Facebook de la Zec

La MRC de Charlevoix-Est a fait l’attribution ce matin de six nouveaux baux de villégiature sur les terres du domaine de l’État, rendant ainsi le territoire public plus accessible. Ces terrains en location étaient offerts au tirage au sort.

Répartis sur trois lacs, à raison de deux baux par lac, les terrains sont situés sur les lacs Bleu (Saint-Siméon), Clapin (TNO de Mont-Élie) et Gauthier (TNO de Mont-Élie). Les six terrains offerts en location par bail ont une superficie de 4 000 m2, sont riverains, accessibles par voie terrestre et tous localisés sur le territoire de la Zec Buteux– Bas-Saguenay.

« L’intérêt de la population pour l’obtention d’un terrain de villégiature dans notre MRC est indéniable, avec près de 5 595 inscriptions au plus récent tirage au sort », a mentionné la préfet de la MRC, Mme Odile Comeau, ajoutant que « la MRC de Charlevoix-Est était la seule MRC de la région de la Capitale-Nationale à offrir de nouveaux baux cette année ».

À l’échelle provinciale, ce sont 181 nouveaux emplacements qui étaient offerts à la population en tirage au sort avec un total de 25 624 inscriptions. La région de la Capitale-Nationale arrive au premier rang pour le nombre d’inscriptions. « Notre MRC jouit d’une bonne cote de popularité », s’est réjouie la préfet.

« La MRC est en phase avec l’axe 1 de sa planification stratégique, où figure la priorité suivante : « Développer les projets en lien avec les plans d’eau dans un souci de promouvoir le territoire de l’arrière-pays », a ajouté Mme Comeau.

La MRC est délégataire de la gestion foncière sur les terres du domaine de l’État depuis 2011 et gère à ce titre le développement de la villégiature sur son territoire. C’est dans ce contexte qu’elle a fait l’attribution des nouveaux baux sur invitation, selon l’ordre des résultats du tirage au sort effectué de façon électronique par la Sépaq au début du mois, sous la supervision d’un vérificateur externe et en présence de témoins.

Partager cet article