Visite éclair du ministre de l’Environnement à Baie-Saint-Paul

Par Dave Kidd 11:27 AM - 28 septembre 2022
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Rudy Laixhay du Moulin de Charlevoix, Kariane Bourassa, François Tremblay d’Héritage Charlevoix et le ministre Benoit Charette

L’actuel ministre de l’Environnement et candidat de la CAQ dans Deux-Montagnes a effectué deux visites à Baie-Saint-Paul, ce mercredi matin.

Benoit Charette et Kariane Bourassa, candidate dans Charlevoix-Côte-de-Beaupré, ont visité le Moulin de la Rémy et la famille Migneron. Les deux politiciens ne sont pas repartis avec une liste d’épicerie, mais les promoteurs ont soulevé des enjeux importants relativement à leur secteur.

Il a beaucoup été question de réglementation lors de la visite des installations de la Famille Migneron.
Au Moulin de la Rémy, patrimoine, agriculture et développement étaient au cœur des échanges.

En entrevue, Benoit Charette a indiqué que le bilan de son parti en environnement « n’est pas du tout gênant ». Il soutient que le contexte électoral suscite des critiques des autres partis.

« Le bilan est positif. Dans les faits, le budget de programmes du ministère a doublé en 4 ans. Ne cherchez pas un autre ministère dont le budget a doublé. On a mis l’emphase sur les changements climatiques, ce sont huit milliards $ sur 5 ans. C’est de l’argent réel, pas théorique. Nos efforts ont été considérables », dit-il.

Kariane Bourassa, Madeleine et Alexandre Dufour et le ministre Benoit Charette

Kariane Bourassa , qui s’est engagée notamment pour la cause environnementale, était heureuse de constater les pratiques du Moulin de la Rémy et de la Famille Migneron.

« Je suis heureuse de constater que leur développement se poursuit avec des standards aussi élevés sur le plan de l’environnement. Notre présence démontre bien la volonté de la CAQ de poursuivre l’accompagnement des entrepreneurs dans la transition écologique. »

Cette visite d’un ministre n’était pas la seule. Kariane Bourassa a fait campagne avec au moins deux autres ailleurs dans Charlevoix-Côte-de-Beaupré. « Ça démontre que notre formation est derrière la région », termine-t-elle.

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