Transport scolaire : pas de mesure temporaire pour les élèves qui résident sur les rues non desservies

Par Lisianne Tremblay 8:04 PM - 31 août 2022
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Les élèves doivent utiliser les points d’embarquement et de débarquement. Photo istock

Les élèves qui résident dans les rues non desservies par le transport scolaire n’ont pas le choix d’utiliser les points d’embarquement étant donné que le Centre de service scolaire de Charlevoix n’a pas pris de décision sur les solutions proposées en juin.

Le nouveau responsable du transport scolaire Jérémi Forgues se chargera de cette tâche cet automne.

Il y a une vingtaine de rues concernées dans plusieurs municipalités et villes soient, Baie-Saint-Paul, La Malbaie, Petite-Rivière-Saint-François, Les Éboulements, Saint-Urbain et Saint-Irénée.

La directrice générale du Centre de services scolaire de Charlevoix Martine Vallée a rappelé que les véhicules de type berline sont réservés aux enfants ayant des besoins particuliers.

« Nous n’avons pas d’échéancier, mais l’exploration des six solutions se fera cet automne. Les contrats que nous avons conclu avec les transporteurs ne nous permet pas de dégager une marge de manœuvre supplémentaire. Les contrats que nous avions ont été indexés », a-t-elle commenté en séance publique du conseil d’administration ce soir.

Les points d’embarquement et de débarquement sont proposés par l’organisation. Ils sont situés à un maximum de 300 mètres du lieu de résidence de l’élève du primaire et à un maximum de 500 mètres du lieu de résidence de l’élève du secondaire selon la politique relative au transport scolaire.

Certains parents n’ont pas d’autres choix que d’aller porter leurs enfants et d’aller les chercher étant donné qu’aucun autre plan n’est offert.

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