Cas de varicelle au Centre éducatif Saint-Aubin

Par Emelie Bernier 11:15 AM - 6 octobre 2020 Initiative de journalisme local
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Les parents des jeunes qui fréquentent le Centre éducatif Saint-Aubin et les membres du personnel ont reçu un mémo les avisant de la présence d’un cas de varicelle à l’école. La lettre rappelle que la varicelle, bien que très contagieuse,  est généralement bénigne et se manifeste par une éruption cutanée pouvant s’accompagner de fièvre et de démangeaisons.

Les personne atteintes sont contagieuses un ou deux jours avant l’apparition de l’éruption et jusqu’à ce que les boutons soient guéris. Lorsque l’infection est transmise, elle se manifeste deux ou trois semaines après le contact. La lettre rappelle que des complications peuvent survenir, surtout chez les adolescents et les adultes.  “Les personnes qui prennent des médicaments (cortisone, traitement contre le cancer, médicaments qui
pourraient affaiblir le système immunitaire) ou qui souffrent d’une maladie qui diminue leurs défenses contre les infections (leucémie, VIH) sont plus à risque de complications. De même, une femme enceinte n’ayant jamais fait la varicelle et n’ayant jamais été vaccinée devrait aussi consulter un médecin à la suite d’un contact avec une personne atteinte de cette maladie. Nous suggérons à ces personnes de communiquer rapidement avec leur médecin. Il pourra leur conseiller un traitement préventif”, précise la lettre.

Les personnes ayant déjà vécu un épisode de varicelle sont considérées comme immunisées. Dans le cas contraire, on invite à consulter le CLSC pour discuter de la possibilité d’obtenir le vaccin qui pourrait prévenir la maladie s’il est administré rapidement après un contact avec un cas de varicelle ou diminuer les symptômes.

“Si votre enfant contracte la varicelle, ne lui donnez aucun produit contenant de l’aspirine ou de l’ibuprofène. Pour faire baisser la fièvre en toute sécurité, donnez-lui de l’acétaminophène. Pour diminuer les risques d’infection, gardez la peau de votre enfant bien propre”, précise le mémo acheminé par l’infirmière scolaire. Vous êtes prié d’aviser l’école si votre enfant développe les lésions caractéristiques de la fameuse quoique généralement inoffensive “picote”.

 

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