La SADC a investi plus d’un demi-million pour 12 projets

Par Lisianne Tremblay 7:23 AM - 30 juin 2020
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ARCHIVES 2019 – Claudia Villeneuve, conseillère au développement des affaires et Pascal Harvey, directeur général de la SADC.

La Société d’aide au développement de la collectivité  (SADC) dresse un bilan positif  de l’année 2019-2020 au cours de laquelle 12 projets se sont partagés 572 270 $.

Sept projets ont été déposés au fonds d’investissement régulier pour une somme de 437 270$ et cinq dossiers pour la Stratégie Jeunesse, pour un total de 135 000$. Les investissements s’élèvent à 572 270$.

La SADC est un partenaire important pour le développement économique des territoires de Charlevoix, de la Côte-de-Beaupré et de l’Ile d’Orléans, considère le directeur général Pascal Harvey.  L’effet levier des prêts accordés par l’organisation représente plus de deux millions de dollars. « Nous avons eu moins de projets en démarrage cette année, nous avons eu davantage des projets de consolidation, ce qui explique la différence avec 2019 où près d’un million de dollars avait été prêté », a précisé le directeur général Pascal Harvey

Pour la prochaine année, la SADC souhaite maximiser l’aide et le support aux entreprises, qui ont subi des impacts négatifs laissés de la pandémie de la COVID-19.« Nous avons déjà eu plus de demandes de projet. Nous étions en télétravail durant la pandémie. On a constaté que certains entrepreneurs avaient plus de difficultés à planifier à moyen et à long terme. Nous allons travailler sur cet aspect avec eux. »

Synergie 138 représente la pierre angulaire des projets de la SADC au cours de la dernière année, selon l’organisation. La mise en place de cette initiative, couvrant l’Ile d’Orléans à Blanc-Sablon, positionne avantageusement la SADC qui assure la gestion des projets du territoire de Charlevoix, de la Côte-de-Beaupré, de l’Ile d’Orléans et de la Haute-Côte-Nord.

« L’économie circulaire, dans tous ses aspects organisationnels, est présentée aux entreprises comme une voie de développement responsable et durable permettant des économies d’échelle non-négligeables, de même qu’une rentabilisation et une diminution de l’empreinte écologique. Ce projet nous permet aussi de se faire connaître davantage auprès des entreprises », conclut Pascal Harvey.

 

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