Le Fairmont Le Manoir Richelieu demeure fermé pour l’instant

Par Emelie Bernier 1:11 PM - 28 mai 2020
Temps de lecture :

archives

Le Fairmont Le Manoir Richelieu avait fait le choix de fermer complètement ses portes depuis le début du confinement. « Nous sommes un hôtel de villégiature et les déplacements étaient interdits ainsi que la frontière fermée donc ce n’était pas financièrement viable de demeurer ouvert dans ces conditions », précise Caroline Ouellette,  directrice ventes et marketing au Fairmont Le Manoir Richelieu.

Avec les récentes annonces, l’institution se prépare à une réouverture « conforme aux directives gouvernementales et de celles des Hôtels Accor, renchérit Mme Ouellette. Accor s’est d’ailleurs associé aux meilleurs experts pour mettre en œuvre de nouvelles normes de sécurité, procédures et protocoles opérationnels améliorés qui comptent parmi les plus rigoureux du secteur de l’hôtellerie et qui ont été validés par ALLSAFE, la nouvelle référence mondiale en matière de propreté », précise-t-elle.  Une visite sur la plateforme (bientôt accessible en français) donne une idée de l’étendue des mesures.

À titre d’exemple, des « wellness kits » (kit de santé/sécurité) seront fournis dans chaque chambre comprenant masques, gants, désinfectant à main, lingettes désinfectantes et plus. Des items seront pour leur part retirés des chambres dont le contenu du minibar, les crayons, les magazines, le réveil matin… Ils seront cependant disponibles sur demande. Les clients des restaurants se verront remettre des masques et du désinfectant pour les mains par des hôtes et hôtesses masqués et gantés à leur arrivée.

Le golf rouvrira ses verts le 5 juin, mais la date de réouverture de l’hôtel n’était pas connue le jeudi 28 mai. « Idéalement, l’ouverture du Casino et du Manoir Richelieu se feraient en même temps,  mais elles ne seront pas dépendantes l’une de l’autre », précise Mme Ouellette.

Les besoins en main d’œuvre évolueront selon la demande. « Il est trop tôt pour se prononcer sur d’éventuelles mises à pied », conclut Caroline Ouellette.

 

Partager cet article