Festidrag, un succès de retour pour…cinq ans

Après le succès monstre du premier Festidrag Castrol de la fin de semaine dernière, les négociations sont en cours pour ramener l’événement dans la région pour les… cinq prochaines années.

Près de 4 000 personnes auraient assisté au premier Festidrag présenté dans la région les 10 et 11 juin, un succès sans précédent selon les organisateurs de l’événement, cela malgré l’annulation de la journée de dimanche due à la mauvaise température. «  On est vraiment content. On visait les 7 000 spectateurs pour trois jours, donc on peut dire mission accomplie », affirme Martin d’Anjou, coordonnateur du Festidrag.

L’assistance aux essais libres du vendredi soir à particulièrement surpris M. D’Anjou. « Ça a été un succès monstre, au-delà de nos espérances. On s’attendait a eu une cinquantaine de véhicules, on en a eu 150. En plus, on a jamais vu autant de spectateurs pour des essais libres. Habituellement, on n’a pas beaucoup de gens qui viennent y assister », ajoute le coordonnateur du Festidrag.

De retour pour…

Martin d’Anjou et son équipe aimerait bien revenir dans la région l’an prochain et même tenir l’événement à l’aéroport de Saint-Irénée chaque année pendant cinq ans. « On est entrain de regarder avec les maires pour négocier un contrat pour les cinq prochaines années », confie M. D’anjou. « Avec les autres villes, ce sont des contrats de cinq ou même dix que l’on signe », ajoute-t-il.

Interrogés sur la question, le préfet de la MRC de Charlevoix-Est, Sylvain Tremblay, et le maire de la Malbaie, Michel Couturier,  sont prêt à accueillir l’événement de nouveau tout en rappelant que la décision est entre les mains du conseil des maires de Charlevoix Est. «  Je ne vois pas de problème au retour de l’événement si ça convient à tous les parties, mais la décision en revient au conseil des maires qui étudiera la question », affirme Sylvain Tremblay en entrevue téléphonique. « Je peux dire que si techniquement ça va, je suis très favorable, mais il faut d’abord négocier avec les maires et les gens de la MRC », énonce de son côté M. Couturier.