La SOGIT poursuivra si aucun accord n’intervient
Les discussions continuent entre les procureurs des parties impliquées dans les travaux de réfection du mur est du Quai de Pointe-au-Pic.
La Société de gestion des infrastructures de transport de Charlevoix (SOGIT) est toujours déterminée à mettre un terme à cette saga. Elle a fixé une date butoir avant de saisir les tribunaux de l’affaire. « Le 15 novembre, notre avocat déposera la requête», affirme Michel Couturier, président du conseil de la SOGIT.
En juillet, la SOGIT avait amorcé des démarches juridiques en vertu du cautionnement d’exécution des travaux et pour celui de la valeur des matériaux. Le contrat pour la réfection et l’agrandissement du quai de Pointe-au-Pic, accordé en novembre 2011, se chiffrait à 3,7 M$.
Par ailleurs, la SOGIT a l’intention d’utiliser le mur du côté sud pour y faire accoster des bateaux de croisière. « AML a tenté l’expérience cette année. On discute pour 2016 », avoue aussi Michel Couturier.
Le projet du Havre a été déposé au ministre Jean d’Amour, responsable de la Stratégie maritime. « On devra le retravailler pour frapper à d’autres portes », confie aussi le président de la SOGIT. Michel Couturier doit d’ailleurs discuter avec le ministre D’Amour qui sera à Baie-Saint-Paul demain (vendredi).
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