L’animatrice et journaliste Elise Tremblay vient de célébrer 15 ans de passion à la télévision communautaire Vents et Marées, entourée de ses collègues de travail ainsi que plusieurs intervenants de l’univers culturel de la région charlevoisienne.
La soirée reconnaissance a été orchestrée afin de souligner les quinze années de services ininterrompues au sein de l’organisme d’information :
« J’ai œuvré auparavant pendant trois ans à la station de radio CIHO », se rappelle-t-elle avec un beau sourire.
Mme Tremblay était heureuse d’être pour une fois le point de mire de la fête au restaurant l’Allegro, elle qui s’est toujours dévouée pour faire avancer le volet culturel à la grandeur du comté :
« Elise est une vraie passionnée, dotée d’un esprit ouvert et elle est constamment prête à découvrir de nouvelles choses, sans aucune frontière », résume Ginette Gauthier, directrice générale du Domaine Forget de Saint-Irénée, un des lieux de prédilection de la journaliste culturelle.
Son entrevue avec le chef Ken Nagano de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) demeure pour elle l’un de ses plus beaux faits d’armes en quinze ans de carrière :
« Ce fut un moment spontané qui a pris forme dans les coulisses du Domaine Forget », se souvient Mme Tremblay.
Elle se dit en outre très fière de son grand reportage de Charlevoix 2008 en France, histoire de faire rayonner son coin de pays en Europe, dans le cadre des fêtes entourant le 400e anniversaire de la ville de Québec :
« J’ai alors réalisé un documentaire, un travail de moine de douze mois », insiste-t-elle.
Elise Tremblay est encore habitée par cette flamme journalistique qui lui fait avouer qu’elle exerce le plus beau métier du monde, envers et contre tous;
« Je suis passionnée de ma vocation, de la télévision communautaire, en raison de la liberté d’expression qu’on ne retrouve pas ailleurs dans les grands réseaux, confesse-t-elle. J’apprécie aussi la proximité que j’obtiens avec les intervenants du milieu et les acteurs de l’univers culturel».
Elle n’a que des bons mots à l’égard de Mario-Bernard Tremblay qui lui a ouvert toutes grandes les portes du métier :
« Sans Mario-Bernard, je ne serais pas là aujourd’hui», glisse-t-elle tout de go.
Elise souhaite de tout cœur poursuivre encore longtemps sa mission d’informer et de faire partager ses états d’âmes :
« Avec l’expérience et la compétence que j’ai acquises au fil du temps, je peux à présent réaliser mes reportages de A à Z. C’est pour moi le plus beau métier du monde », répète-t-elle, en guise de conclusion.
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