La libérale Caroline Simard veut créer des emplois

17 mars 2014
Temps de lecture :

 

La candidate du Parti libéral du Québec (PLQ) dans Charlevoix-Côte-de-Beaupré, Caroline Simard, veut créer des emplois. Pour se faire, elle entend miser sur le développement des activités maritimes et l’ajout de motels industriels.

Par Brigitte Lavoie

Selon Mme Simard, Charlevoix a besoin de « conditions propices au développement économique », conditions essentielles à la création d’emplois dans la région. « Je suis en mode écoute et solutions », affirme-t-elle, proposant d’ouvrir de nouveaux motels industriels, ou incubateur d’entreprises, comme il en existe déjà au CLD de la MRC de Charlevoix-Est.

La plateforme locale de Mme Simard prend aussi son souffle dans le plan de développement de la voie maritime du fleuve Saint-Laurent, proposé par le PLQ. « Cette stratégie maritime a été initiée dans Charlevoix, où M. Couillard en avait discuté avec des charlevoisiens. (…) Il faut encourager la construction navale, notamment avec des crédits d’impôt pour la construction, et régler la question du quai de Pointe-au-Pic, pour qu’il accueille les bateaux de croisière. »

Si elle est élue, Mme Simard assure qu’elle sera une députée « présente » et qu’elle travaillera pour que les « décisions locales se prennent en groupe et de façon concertée », notamment pour le quai de Pointe-au-Pic. « Il faut revenir » dans le dossier du quai de Pointe-au-Pic, selon Mme Simard, qui déplore que la région est entrain « de manquer le bateau ». « Il faut s’assurer que ce quai accueille les bateaux de croisières. Son développement est très lent, pour ne pas dire inexistant dans les dernières années », constate-t-elle.

Pour améliorer les statistiques d’emploi locales, Mme Simard propose également d’intégrer davantage de femmes aux métiers non traditionnels, d’accentuer le service de mentorat entrepreneurial dans Charlevoix et d’inciter les citoyens à créer leur propre emploi. « J’ai constaté sur le terrain que les gens ont beaucoup d’idée. Il faut créer un climat favorable pour réaliser les choses », insiste-t-elle.

 

Partager cet article