Retard sur les quais et contamination onéreuse

18 juin 2013
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Les contraintes et les mauvaises nouvelles s’accumulent sur les chantiers des quais de Cap-à-l’Aigle et de Pointe-au-Pic. À Cap-à-l’Aigle, la découverte de matériel contaminé aux hydrocarbures sous le tablier du pont entraînera un retard du chantier et une hausse des coûts. « Ça aura un impact majeur sur les coûts. On parle de centaines de milliers de dollars de plus. Nous sommes entrain d’évaluer », précise le secrétaire de la SOGIT, Guy Néron.

Dans le cas de Pointe-au-Pic, l’encoche du mur sud est désormais réparée, juste à temps pour le premier anniversaire de la collision. Pour le mur est par contre, la zone de reproduction des bélugas complique toujours le chantier et la pose des dernières palplanches. « À la demande de Pêche et Océans Canada, nous avons fait faire des tests d’hydrophone et nous avons obtenu le feu vert pour continuer jusqu’au 15 juillet. Par contre, la zone de tolérance sans bélugas visibles est passée de 600 à 1000 pieds », précise le M. Néron.

« Sans tenir compte de la grève », la SOGIT estime déjà un retard de près d’un mois pour les deux quais, reléguant la livraison de Pointe-au-Pic pour la fin août et celui de Cap-à-l’Aigle pour la fin juillet.

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