Charlevoix au Boulot La grande séduction sauce charlevoisienne!

La 15^e édition de Charlevoix au Boulot s’est déroulée le samedi 23 mars au pavillon Joseph-Rouleau dans le cadre enchanteur du Domaine Forget. L’événement de l’emploi dans la région a permis aux chômeurs comme aux employeurs de se rencontrer pour quelques minutes… une entrevue… toute une vie peut-être!

C’est sous la présidence d’honneur d’Ysabelle Lusignan, directrice de la Chambre de commerce de Charlevoix, que l’édition 2013 s’est déroulée cette année. Pour ceux qui ne connaissent pas cette foire de l’emploi, on peut définir Charlevoix au Boulot comme « un événement où l’on peut faire l’arrimage entre les employés et les chercheurs d’emplois », selon Céline Boily, directrice d’Emploi-Québec.

Et des emplois, il y en avait 645 pour être exact. 25 employeurs sur place prêts à rencontrer ceux qui venaient porter leur curriculum vitae. En effet, pour beaucoup d’employeurs, cet événement de l’emploi est une façon de se monter une banque de cv, mais surtout un moyen de rencontrer des employés potentiels et de se faire une idée rapidement de la personne à engager « Tu vois ceux qui sont intéressés et qui cherchent vraiment », expliquait Mario Perron, artisan-ébéniste, présent pour la première fois à l’événement.

Il n’y avait pas que des chercheurs, des employés ou des employeurs, mais aussi des facilitateurs de rencontre entre les deux. En effet, comme par le passé, on pouvait suivre différents ateliers pour faciliter sa démarche d’emploi comme l’atelier sur les réseaux sociaux pour apprendre à se servir de twitter et Facebook. Il y avait aussi les désormais classiques Atelier Brise-Glace, qui permet de s’initier aux techniques pour se présenter à un employeur, et Espace Anglo, dans lequel on pouvait faire évaluer son niveau d’anglais.

Pour ce qui est du nouvel environnement, la plupart des participants interrogés, tant les employeurs que les employés, ont dit apprécier le lieu dans lequel se tenait l’événement cette année. L’éclairage de la salle, en particulier, a donné un climat plus convivial selon certains, même si quelques autres ont trouvé moins agréable le manque d’espace pour circuler entre les stands.