Institut Hubert-Reeves : il faut maintenant dire l’Observatoire de la géosphère
Tel que l’avait exigé Hubert Reeves, le nom de l’astrophysicien a été retiré de l’appellation du projet. Il faut maintenant dire l’Observatoire de la géosphère de Charlevoix.
Le conseil d’administration avait déjà annoncé vouloir poursuivre l’aventure de ce projet dans Charlevoix et promis de respecter la demande de M. Reeves. «Nous gardons la vision, le reste, ce ne sont que des écueils anecdotiques qu’il faut traverser», a dit la porte-parole et vice-présidente, Louisiane Gauthier.
Outre son nom, le projet n’a pas changé. On projette toujours de construire un musée de la terre aux Éboulements et d’en faire un terreau sur la recherche en favorisant la recherche, la vulgarisation scientifique et la diffusion des connaissances.
On a aussi prévu une conférence de presse avant la fin du mois de février pour réaffirmer le désir de poursuivre et de fournir les derniers détails du projet.
Dans une présentation à différents gens d’affaires en octobre 2010, on parlait alors d’un projet de 15 millions $, financé en trois parties égales par le privé, Ottawa et Québec, la création de 34 emplois, un budget annuel de 1,1 million $ et une fréquentation anticipée de 46 000 personnes par année.
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