De passage à La Malbaie, le président d’Équipe Québec, Claude Rousseau, a confirmé que le seul l’option du Mont à Liguori au Massif de Petite-Rivière-Saint-François était étudié pour solutionner la question de la descente olympique masculine.
«On peut penser aller mettre une structure de la hauteur du complexe G sur le toit de Cap Maillard, mais on sait déjà d’entrée de jeu que c’est quasiment impossible. On va se retrouver dans un endroit où ce ne sera pas approuvé ou encore où le propriétaire va refuser», a dit M. Rousseau. Et puisque Petite-Rivière est la seule montagne étudiée, ne reste plus qu’un seul choix.
Ce dernier a visité aujourd’hui les pistes du Massif en compagnie de l’expert Paul Matthews et du propriétaire de la station Daniel Gauthier. Déjà étudié pour une candidature olympique de 2002, le Mont à Liguori traîne un épineux problème, soit un long plat à mi-chemin du parcours, mais c’est le fameux rapport d’étude qui viendra dire si cette fois, avec les normes environnementales, les nouvelles techniques et les standards de la FIS de 2010, c’est maintenant possible.
Une piste féminine homologuée, la proximité avec Québec évitant la construction d’un second village olympique, deux voies d’accès au site (routier et ferroviaire) et la carte de visite qu’offre la station avec les montagnes et le fleuve sont des éléments qui militent en faveur de la station de Charlevoix.
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