Club Med : le maire de Petite-Rivière inquiet

Par Gilles Fiset 12:10 PM - 8 novembre 2017
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Jean-Yves Duclos, ministre de la Famille, des Enfants et du Développement social, Konrad Sioui, Grand chef de la réserve amérindienne de Wendake, Claude Choquette, président de Groupe Le Massif, Dominique Anglade, vice-première ministre et ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation, Daniel Gauthier, président du conseil d’administration de Groupe Le Massif, Caroline Simard, députée de Charlevoix-Côte-de-Beaupré, Gérald Maltais, maire de Petite-Rivière-Saint-François, Véronyque Tremblay, ministre Déléguée aux transports, Régis Labeaume, maire de la ville de Québec et Xavier Mufraggi, pdg de Club Med Amérique du Nord.

Même si le maire de Petite-Rivière-Saint-François est heureux de la venue de l’Hôtel de 300 chambres sur le territoire de sa municipalité, il s’inquiète des conséquences que pourrait occasionner cette nouvelle affluence touristique. « Je me préoccupe de la tranquillité de mes citoyens, affirme Gérald Maltais, maire de Petite-Rivière-Saint-François. Il y a beaucoup de discussions à venir concernant ce projet et le dérangement qu’il va occasionner, particulièrement sur la façon dont les vacanciers vont se rendre à l’hôtel du Club Med, en voiture ou par le Train de Charlevoix. On m’avait dit que ce n’était pas le moment de s’occuper de ce genre de choses, mais moi je pense qu’il faudra bien y penser et le plus tôt sera le mieux ».
Le maire, pour une meilleure qualité de vie de ses concitoyens, préconise que les touristes empruntent le Train de Charlevoix au lieu de l’automobile. Cependant, beaucoup de travail reste à faire, selon lui, si cette option est retenue. « Le problème sera d’amener les gens à la gare de la Chute Montmorency pour qu’ils prennent le train vers Petite-Rivière-Saint-François. Il faudra trouver un arrangement pour satisfaire tout le monde », dit-il
 
 

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